« Être humain, demain »
Nous prônons l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer les caractéristiques physiques et mentales humaines.
Un petit livre sur le transhumanisme, consultable en ligne sur le site.
Dans un récent livre, le philosophe Jean-Michel Besnier qualifie le désir de vivre beaucoup plus longtemps de « pitoyable », « pathétique », « barbare »… Voici une réponse à ses arguments.
Le transhumanisme se retrouve régulièrement accusé d’eugénisme. Ces accusations sont-elles fondées ?
Suite à une récente étude, la presse s’emballe : nous pourrions ne jamais dépasser 125 ans ! Mais qu’en est-il réellement ?
Et si le concept d’humain augmenté était beaucoup plus ancien que nous ne le pensions ?
Monopole, contrôle, espionnage… Pour éviter ces écueils et rendre les technologies accessibles au plus grand nombre, nous avons tout intérêt à développer un transhumanisme « open source ». Voici pourquoi.
Qu’est-ce qui différencie le vieillissement d’une maladie, au fond ? Il en a toutes les caractéristiques ! Cette question un brin provocatrice est une invitation à nous interroger sur l’arbitraire de nos catégories.
Le transhumanisme peut être un moyen de donner plus de sens à l’humanité. Essayons d’expliquer pourquoi.
On lit souvent des phrases telles que « Mieux vaut être très humain que transhumain ! », ou « Le transhumanisme n’est pas un humanisme, car il nous déshumanise par définition ! ». Et si ces condamnations étaient en fait basées sur une imposture sémantique ?
Dans le transhumanisme, il y a l’idée que l’humain doit prendre en main sa propre évolution. De ce fait, le transhumanisme est souvent mis en parallèle avec l’évolution naturelle théorisée par Darwin.
Lorsqu’on parle d’allonger radicalement l’espérance de vie, on se heurte à une objection quasi-systématique : “Mais cela va conduire à une crise de surpopulation !” Cependant, comme nous allons essayer de le montrer, nous pensons que la longévité est un facteur de surpopulation tout à fait négligeable par rapport à d’autres. En fait, allonger la durée de vie pourrait même contribuer à stabiliser voire réduire la population.
Le neurologue François Berger n’a pas de mots assez durs pour condamner le transhumanisme.
Allonger la durée de vie, réduire le temps de travail, ces deux revendications ont un point commun : nous procurer plus de « temps libre ». Mais beaucoup de voix s’élèvent également pour dire que ce n’est pas souhaitable… précisément parce que cela promet plus de temps libre ! Regardons de plus près pourquoi.
Réponse à la tribune « Tuer la mort est un crime contre l’humanité », parue dans le numéro d’octobre 2015 du magazine La Recherche.
Le transhumanisme fait l’objet d’une attention croissante de la part des médias. Ce faisant, il suscite la méfiance de nombreux penseurs, qui se fendent de tribunes assassines dans des journaux ou sur des plateaux télé.
« Humans » est une série anglo-américaine qui met en scène un monde où les robots d’apparence humaine sont devenus monnaie courante, et assistent les humains dans leurs diverses activités. Il s’agit d’un remake de la série suédoise « Real Humans ».
Ce livre explique comment et pourquoi nous pourrions vivre beaucoup plus longtemps en bonne santé. Il ne s’agit pas de passer 50 années supplémentaires dans un lit d’hôpital, mais de repousser le moment à partir duquel notre corps et notre cerveau commencent à se dégrader.
De plus en plus de métiers sont automatisés; à terme, tous pourraient l’être. Cependant, cette automatisation massive fait disparaître de l’emploi, donc des sources de revenu. Les bénéfices de cette automatisation pourraient ainsi ne bénéficier qu’à une infime minorité… Faut-il s’en inquiéter ? Comment réagir ?
L’intelligence artificielle est en plein essor. Les ordinateurs remplacent l’homme dans des tâches intellectuelles de plus en plus complexes. Cependant, quelle que soit la complexité de ces systèmes informatiques, il semble leur manquer une propriété essentielle pour être considérés comme des alter ego : la conscience …