« Être humain, demain »
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A cause des progrès en médecine, le génome humain serait en détérioration accélérée depuis un siècle. L’édition génétique ne serait-elle pas la solution la plus acceptable à ce problème ? Dans ce cas, le transhumanisme ne serait-il pas le meilleur allié des bioconservateurs ?
La peur des chimères humain-animal est-elle un reflet de notre xénophobie atavique ?
Position de l’Association Française Transhumaniste sur la récente naissance de bébés dont l’ADN a été modifié par génie génétique en Chine
Traduction intégrale d’un article paru fin mai 2018 dans The Conversation : « We’re not prepared for the genetic revolution that’s coming »
Pour essayer de sortir de la condamnation systématique associant le transhumanisme à l’eugénisme, notamment totalitaire, certains ont proposé de le décrire comme un « eugénisme libéral ». Mais, au sens strict, le transhumanisme démocratique n’est pas un eugénisme du tout.
Dans son dernier talk, Laurent Alexandre prend des positions plus tranchées qu’à l’accoutumée sur certains sujets, notamment : contre le revenu universel, et contre le posthumanisme. Voici une réponse argumentée.
Lorsque le premier homme utilisa un bâton pointu pour tuer un animal afin de se nourrir, il commença à se libérer des contraintes biologiques et naturelles.