« Être humain, demain »
Nous prônons l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer les caractéristiques physiques et mentales humaines.
À quelles conditions l’Afrique pourra-t-elle participer à la révolution des NBIC et du transhumanisme ? Une réflexion en provenance du Togo
Donald Trump a promis de ramener ses emplois à l’Amérique profonde. Mais qui les a vraiment « volé » ? Et si c’était en fait un faux problème ?
Allonger la durée de vie, réduire le temps de travail, ces deux revendications ont un point commun : nous procurer plus de « temps libre ». Mais beaucoup de voix s’élèvent également pour dire que ce n’est pas souhaitable… précisément parce que cela promet plus de temps libre ! Regardons de plus près pourquoi.
En France, comment les idées du transhumanisme sont-elles reçues par les laboratoires et les entreprises pharmaceutiques, chez les chercheurs du domaines médical, chez les praticiens de la santé, et enfin par les premiers patients auxquels ont propose des traitement qui relèvent des techniques nbic ?
Ancienne étudiante à l’Institut d’Études Politiques d’Aix-en-Provence, auteure d’un mémoire de master sur ce thème, M vous invite à partager ses réflexions sur la réception du transhumanisme en France.
Les risques et les menaces liés au progrès technologiques. Quelles réflexions éthiques pour limiter ces risques et dérives ?
Pour un transhumanisme démocratique et responsable. Avis James Hughes, éthicien et bio-éthicien sur les possibles risques et les dérives du transhumanisme.