Tout ce qui est relatif à la politique du transhumanisme et à ses impacts sociétaux. Il s’agit des questions liées à la liberté, l’égalité et à la démocratie
TweeterCe texte est technoprogressiste. Il explique et dénonce des engrenages contre-productifs. Sans eux, nous pourrions être plus proactifs, nous consacrer à notre bien-être et à notre survie à moyen et long terme, individuelle (longévité en bonne santé) et collective
Samedi 14 Juin 2025 – Bar La Perestroïka 2 Rue Thiergarten 67000 STRASBOURG (Entrée libre)
Vers une Alliance éthique, responsable et équitable
On accuse souvent le transhumanisme d’être la porte ouverte à une société dystopique totalitaire et à des inégalités extrêmes. Et si on se trompait de cible ?
Hadrien Pourbahman, étudiant en Master 2 spécialisé en droit de la santé et des biotechnologies, a effectué un stage au sein de l’AFT Technoprog. Cet article synthétise ses travaux et fournit des références pour vous permettre d’approfondir les sujets.
Troisième texte écrit en anglais par Amon Twyman, transhumaniste britannique à l’origine du premier parti politique transhumaniste européen (TPEU), et traduit en français par Audrey Arendt.
Marc Roux et Didier Coeurnelle (président et vice-président de l’Association Française Transhumaniste) publient un nouveau livre sur le transhumanisme : « Technoprog » !
Deuxième texte écrit en anglais par Amon Twyman, transhumaniste britannique à l’origine du premier parti politique transhumaniste européen (TPEU), et traduit en français par Audrey Arendt.
Un texte écrit en anglais par Amon Twyman, transhumaniste britannique à l’origine du premier parti politique transhumaniste européen (TPEU), et traduit en français par Audrey Arendt.
Comment devons-nous interpréter le pessimisme technologique de la plupart des œuvres de science-fiction ?
En marge du colloque international TransVision 2014 (Paris, 20-22 nov.), s’est tenue une réunion rassemblant des représentants du technoprogressisme de plusieurs pays.
De plus en plus de métiers sont automatisés; à terme, tous pourraient l’être. Cependant, cette automatisation massive fait disparaître de l’emploi, donc des sources de revenu. Les bénéfices de cette automatisation pourraient ainsi ne bénéficier qu’à une infime minorité… Faut-il s’en inquiéter ? Comment réagir ?
Le 12 février dernier, Le Monde a publié un article sous le titre « Les vertiges du transhumanisme ». Ce texte a appelé la réponse suivante de l’Association Française Transhumaniste – Technoprog.
À la lecture des publications proposées par le courant des “objecteurs de croissance”[1], on pourrait être amenés à penser que ce mouvement n’a strictement rien à échanger avec le Transhumanisme. Mais, sur le fond, Décroissance et Transhumanisme, surtout techno-progressiste, ne sont pas du tout incompatibles, ils pourraient même se révéler nécessaires l’un à l’autre !
Une interview de Marc Roux sur TseWebTV : Les relations de la gauche française avec le transhumanisme peuvent paraître antagonistes. Mais les a priori sont surtout le fait de mécompréhensions aux causes multiples. Pourtant, la gauche a été longtemps technophile. Surtout, laisser l’interprétation du transhumanisme à d’autres pourrait constituer une erreur historique.
Depuis longtemps, le progrès technologique chamboule l’ordre existant en détruisant des pans entiers de l’économie, mais jusqu’à présent ce fut une force malgré tout positive. Car derrière la destruction apparente de l’ordre ancien, l’innovation créait toujours assez de nouvelles activités pour donner une porte de sortie à ceux ayant dû renoncer à des activités devenues obsolètes. Martin Ford part de ce constat pour essayer à travers ce livre de voir quelle solution trouver.
L’arrivée de l’informatique de manière invasive et les progrès de l’intelligence artificielle puis de la robotique bouleversent le monde du travail. La notion de chômage technologique L’arrivée de l’informatique de manière invasive et les progrès de l’intelligence artificielle puis de la robotique bouleversent le monde du travail. Comme je l’avais déjà illustré dans un… [lire la suite]
Au moment où j’ai commencé cet article, nous étions le 12 juin. Ce soir là, le coup d’envoi de la 20e coupe du monde de football était symboliquement donné par un jeune handicapé paraplégique équipé d’un exosquelette piloté par la pensée [1].
Aux sources de l’utopie numérique De la contre-culture à la cyberculture, Stewart Brand, un homme d’influence. Fred Turner L’information comme matière première L’utopie, ça réduit à la cuisson.C’est pourquoi, il en faut énormément au départ.Gébé C’est par cette citation que Dominique Cardon entame sa préface à l’ouvrage de Fred… [lire la suite]
Comment le fait de rester les pieds sur terre n’empêche pas de rechercher un futur techno-progressiste.