Lettre d’information mensuelle #36.
On accuse souvent le transhumanisme d’être la porte ouverte à une société dystopique totalitaire et à des inégalités extrêmes. Et si on se trompait de cible ?
On lit souvent des phrases telles que « Mieux vaut être très humain que transhumain ! », ou « Le transhumanisme n’est pas un humanisme, car il nous déshumanise par définition ! ». Et si ces condamnations étaient en fait basées sur une imposture sémantique ?
Permettez-moi de vous parler de l’homme d’après-demain, dans le domaine de la santé. Probablement dans un futur pas très éloigné, la longévité humaine sera le double de ce qu’elle est aujourd’hui. Surtout, ce temps supplémentaire sera un temps de vie en bonne santé, sans handicap ni dépendance.
La percée médiatique du transhumanisme de France et de Navarre se poursuit.
Par-delà les perspectives à court et moyen terme généralement abordées dans cette lettre, il est intéressant de s’aventurer parfois vers un futur plus lointain, plus hypothétique. Le concept du transfert de la conscience
Cela devient de plus en plus difficile de ne pas être informé à propos du transhumanisme.
Les manifestations, les conférences se multiplient dans la société française, sur le sujet du Transhumaniste, organisées par des associations syndicales, religieuses ou laïques. Alors que la notion de Transhumanisme est maintenant à la portée du grand public, il s’agit de ne pas caricaturer le débat.
Le neurologue François Berger n’a pas de mots assez durs pour condamner le transhumanisme.
Il est jusqu’à présent plutôt rare que les transhumanistes s’expriment sur la question de l’écologie. Marc Roux nous propose quelques réflexions sur ce que pourrait être un écologisme technoprogressiste.
Thème du mois : Le droit des citoyens aux expérimentations médicales pour la longévité.
Troisième texte écrit en anglais par Amon Twyman, transhumaniste britannique à l’origine du premier parti politique transhumaniste européen (TPEU), et traduit en français par Audrey Arendt.
Ce mois de mars aura vu aboutir plusieurs des projets importants que l’AFT-Technoprog s’était donné l’année dernière. L’activité de l’association témoigne aussi de ce que le transhumanisme français est peut-être en train de passer un nouveau cap. Les adhésions continuent à arriver régulièrement, les sollicitations médiatiques augmentent encore. Vous verrez ci-dessous que nos participations ou contributions se sont montées à près d’une dizaine pour ce seul dernier mois.
Marc Roux et Didier Coeurnelle (président et vice-président de l’Association Française Transhumaniste) publient un nouveau livre sur le transhumanisme : « Technoprog » !
Dans cette lettre, tout ce qui permet de vivre plus longtemps sera abordé, que nous puissions aujourd’hui influencer ou pas le facteur concerné. Par effet-miroir, cette lettre aurait pu également s’intituler, « Vingt-trois moyens pour mourir plus rapidement. »
Les sollicitations médias continuent à être nombreuses pour l’AFT. Marc Roux a présenté dans une réunion à l’assemblée nationale des « propositions pour la France », Armand Ngaketcha est interviewé au Cameroun. […]
Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée.
Présentation du technoprogressisme (position de l’AFT), sur base d’un texte rédigé par Virginie Soulabaille.
Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée.
Deuxième texte écrit en anglais par Amon Twyman, transhumaniste britannique à l’origine du premier parti politique transhumaniste européen (TPEU), et traduit en français par Audrey Arendt.