« Être humain, demain »
Nous prônons l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer les caractéristiques physiques et mentales humaines.
Deuxième des quatre parties d’une réflexion sur le syndrome du « hedonic treadmill ». Qu’est-ce que « l’adaptation hédonique » ? Le rôle de la sérotonine …
Première des quatre parties d’une réflexion sur le syndrome dit du « hedonic treadmill », en anglais. À quelles conditions la technique pourrait nous aider à sortir de notre tendance à revenir à des niveaux de bonheur plus ou moins égaux tout le long de la vie ?
Pour essayer de sortir de la condamnation systématique associant le transhumanisme à l’eugénisme, notamment totalitaire, certains ont proposé de le décrire comme un « eugénisme libéral ». Mais, au sens strict, le transhumanisme démocratique n’est pas un eugénisme du tout.
De Florence Pinaud et Élodie Perrotin (Eds Ricochet, 2018), ce petit ouvrage illustré avec humour est une excellente introduction au questionnement transhumaniste.
Nous pouvons nous accorder avec certains critiques du transhumanisme pour dire que la convergence NBIC met en question notre rapport au langage et aux symboles. Or, il est probable qu’ils contribuent à ce qui fait émerger l’humain. Une pensée transhumaniste peut-elle relever ce défi ? Le symbolisme s’évanouira-t-il dans nos machines computationnelles ?
Les perspectives démographiques envisagées par les transhumanistes n’impliquent pas seulement un allongement radical de la durée de vie en bonne santé mais aussi une diminution de la part des plus jeunes dans la population. Quelles conséquences pourraient avoir une raréfaction de l’enfance ?
Il est jusqu’à présent plutôt rare que les transhumanistes s’expriment sur la question de l’écologie. Marc Roux nous propose quelques réflexions sur ce que pourrait être un écologisme technoprogressiste.
Les prédispositions morales de l’humain tel que nous le connaissons nous paraissent-elles si idéales que nous ne devrions en rien envisager d’y toucher ?
À la lecture des publications proposées par le courant des “objecteurs de croissance”[1], on pourrait être amenés à penser que ce mouvement n’a strictement rien à échanger avec le Transhumanisme. Mais, sur le fond, Décroissance et Transhumanisme, surtout techno-progressiste, ne sont pas du tout incompatibles, ils pourraient même se révéler nécessaires l’un à l’autre !
Au moment où j’ai commencé cet article, nous étions le 12 juin. Ce soir là, le coup d’envoi de la 20e coupe du monde de football était symboliquement donné par un jeune handicapé paraplégique équipé d’un exosquelette piloté par la pensée [1].
Une franche avancée du transhumanisme : Le Comité National d’éthique reconnaît le sérieux de ses hypothèses (Mais se trompe en partie de cible dans ses critiques).
Une franche avancée du transhumanisme : Le Comité National d’Éthique reconnaît le sérieux de ses hypothèses (mais se trompe en partie de cible dans ses critiques) Le 12 février dernier, le journal Le Monde, dans son supplément « Science et médecine », a signalé une publication qui a dû passer inaperçue de la très… [lire la suite]
Avis n°122 du CCNE : « Recours aux techniques biomédicales en vue de « neuro-amélioration » chez la personne non malade » : résumés
Comment le fait de rester les pieds sur terre n’empêche pas de rechercher un futur techno-progressiste.
Pourquoi une durée de vie considérablement augmentée pourrait signifier une amélioration de l’humanité, au sens physique comme au sens moral ?
Pourquoi une durée de vie considérablement augmentée pourrait signifier une amélioration de l’humanité, au sens physique comme au sens moral ?
Jean-Didier Vincent, neurobiologiste et membre de l’Académie des sciences, a voulu comprendre ce que pouvait être le mouvement transhumaniste. Il nous livre un carnet de voyage, mêlant récits de ses rencontres et réflexions personnelles. Compte rendu de lecture et commentaire critique.
Pourquoi une durée de vie considérablement augmentée pourrait signifier une amélioration de l’humanité, au sens physique comme au sens moral ? Quelques effets possibles en terme de psychologie
Pourquoi une durée de vie considérablement augmentée pourrait signifier une amélioration de l’humanité, au sens physique comme au sens moral ?
Mieux qu’un compte rendu, les organisateurs des rencontres H+ Paris se sont dotés d’une caméra et d’un micro et nous offrent l’intégrale de la conférence donnée par Cyril Gazengel à l’occasion de la rencontre du 23 octobre dernier : « La fin du travail, et après ? » ou comment envisager d’un point de vue techno-progressiste la… [lire la suite]