« Être humain, demain »
Nous prônons l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer les caractéristiques physiques et mentales humaines.
Si demain nous pouvions tout changer, quelles seraient les qualités ou les valeurs qu’il nous paraîtrait indispensable de conserver ?
IA consciente, zombis philosophiques, libre-arbitre des jumeaux digitaux, ou bien est-ce que l’avenir de l’intellect appartient aux psychonautes ?
Dans cet ouvrage, Éric Fourneret se réfère beaucoup au transhumanisme. Comment le présente-t-il, et pourquoi ?
Samedi 16 Mars 2024 – Le Michel café-brasserie, 20 Avenue de la Marseillaise 67000 STRASBOURG (Entrée libre)
Avec The Flares, Virginie Stephenne interviewe Bernard Baertschi, philosophe suisse et bioéthicien
Frédéric Balmont, trésorier de l’AFT, pose dans ce livre un regard singulier sur les relations entre transhumanisme, politique, religion et écologie. Une approche à la fois raisonnée et poétique pour remonter vers les sources du transhumanisme, éprouver les grandes impasses de notre présent et distinguer les issues qui s’ouvriront demain.
L’exposition en cours au Grand Palais nous permet de nous pencher sur les mutations de l’art permises par la robotique et l’intelligence artificielle.
Dans cette vidéo, j’explique pourquoi on peut être favorable à l’augmentation de l’humain par la technologie.
Le transhumanisme peut-il être vu comme une extension de l’humanisme des Lumières ?
Le transhumanisme peut être un moyen de donner plus de sens à l’humanité. Essayons d’expliquer pourquoi.
On lit souvent des phrases telles que « Mieux vaut être très humain que transhumain ! », ou « Le transhumanisme n’est pas un humanisme, car il nous déshumanise par définition ! ». Et si ces condamnations étaient en fait basées sur une imposture sémantique ?
Stephen Hawking physicien et cosmologiste de renom, est l’objet d’un article publié dans la revue « The Daily Galaxy ».
Pour une Déclaration Universelle des Droits du Transhumain, c.a.d. de l’Individu Conscient.
Biotechnologies contre naturalisme moral : limites du « bio-catastrophisme ». Différence entre un jugement moral et une réflexion éthique.