« Être humain, demain »
Nous prônons l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer les caractéristiques physiques et mentales humaines.
D’où viennent toutes ces idées folles ?
Sécurité, liberté, transgression… Nos repères sont bousculés par l’introduction du transhumanisme en tant qu’outil politique et policier.
Assistons-nous à l’abolition des privilèges biologiques ? D’après Blake Lemoine, nous sommes témoins de l’éveil de la conscience artificielle !
Peut-on réécrire l’histoire ? Quels sont les dangers de l’ingénierie mémorielle pour la personne et pour la société ?
Ralentir le développement technologique pour réduire la domination ?
Comment être humain dans le transhumain ou le posthumain? Analyse du slogan de l’AFT : être humain, demain.
Quelle pourrait-être la figure de l’homme dans le futur ? A quoi pourrait ressembler une politique de la perfectibilité posthumaine ?
L’amélioration transhumaniste est-elle une quête de perfection ?
Pourquoi chez Tesson l’alliance de l’antimoderne et de l’identitaire devient un danger pour le longévitisme ?
La liberté joue-t-elle aux dés ? Analyse d’une crainte (mal) fondée sur une notion fascinante.
L’amortalité transhumansite ne dit rien, ni ne préjuge en soi de l’existence de l’immortalité : elle peut même s’accorder aux croyances en l’âme ou en la divinité.
Qui est eugéniste ? Qui fétichise les gènes ? Examinons quelques logiques sociales plus insidieuses.
Le transhumanisme au prisme de la science-fiction francophone et de ses critiques
Analyse et critique du bioconservateur Aurélien Barrau. Pourquoi sa critique du transhumanisme est fausse ?
Ne plus mourir (être amortel, immortel) implique-t-il nécessairement l’ennui, la monotonie, et la condamnation à perpétuité du « toujours les mêmes » ? Certainement pas ! Le transhumanisme peut nous inviter à rester curieux, aventureux et le cœur aimant ! « Only lovers left alive ».
Note de lecture critique du livre de Nicolas Roberti « H+ ». On explique pourquoi ce n’est pas le transhumanisme que nous défendons.
Contrairement aux apparences, et à quelques déclarations emballées d’écologistes mystiques ou de bio-conservateurs thanatophiles, le coronavirus n’aura pas écorné la perspective transhumaniste. Au contraire, il pourrait bien avoir démontré sa pertinence et sa force.
Réponse à un article paru sur le site « maisouvaleweb »