« Être humain, demain »
Nous prônons l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer les caractéristiques physiques et mentales humaines.
L’avis repris par la ministre des armées d’ouvrir la recherche sur le Soldat augmenté relève du transhumanisme : Analyse h+
Dans un temps où de nombreuses personnes décèdent dans des conditions désespérantes, il peut paraître déplacé de parler d’euthanasie. Pourtant, l’euthanasie n’est-elle pas transhumaniste en soi ?
Quinze ans après … Où en est-on ? Quels risques ? Quels avantages ?
La peur des chimères humain-animal est-elle un reflet de notre xénophobie atavique ?
Marc Roux nous livre sa critique, essentiellement positive, sur cet ouvrage signé David Doat et Franck Damour, de l’Université Catholique de Lille.
Marc Roux nous livre sa critique, essentiellement positive, sur cet ouvrage signé David Doat et Franck Damour, de l’Université Catholique de Lille.
Les processus biologiques qui conduisent au plaisir et au bonheur sont très complexes et sensibles. Quelles conséquences pourraient découler d’une modulation transhumaniste de cette subtile alchimie ?
La “roue hédonique” (3/4) : Dans son livre, Homo Deus, Yuval Noah Harari consacre un chapitre à la manière dont il imagine que notre accès au bonheur pourrait être amélioré par la technique -> Critique.
Deuxième des quatre parties d’une réflexion sur le syndrome du « hedonic treadmill ». Qu’est-ce que « l’adaptation hédonique » ? Le rôle de la sérotonine …
Première des quatre parties d’une réflexion sur le syndrome dit du « hedonic treadmill », en anglais. À quelles conditions la technique pourrait nous aider à sortir de notre tendance à revenir à des niveaux de bonheur plus ou moins égaux tout le long de la vie ?
Pour essayer de sortir de la condamnation systématique associant le transhumanisme à l’eugénisme, notamment totalitaire, certains ont proposé de le décrire comme un « eugénisme libéral ». Mais, au sens strict, le transhumanisme démocratique n’est pas un eugénisme du tout.
De Florence Pinaud et Élodie Perrotin (Eds Ricochet, 2018), ce petit ouvrage illustré avec humour est une excellente introduction au questionnement transhumaniste.
Nous pouvons nous accorder avec certains critiques du transhumanisme pour dire que la convergence NBIC met en question notre rapport au langage et aux symboles. Or, il est probable qu’ils contribuent à ce qui fait émerger l’humain. Une pensée transhumaniste peut-elle relever ce défi ? Le symbolisme s’évanouira-t-il dans nos machines computationnelles ?
Les perspectives démographiques envisagées par les transhumanistes n’impliquent pas seulement un allongement radical de la durée de vie en bonne santé mais aussi une diminution de la part des plus jeunes dans la population. Quelles conséquences pourraient avoir une raréfaction de l’enfance ?
Il est jusqu’à présent plutôt rare que les transhumanistes s’expriment sur la question de l’écologie. Marc Roux nous propose quelques réflexions sur ce que pourrait être un écologisme technoprogressiste.
Les prédispositions morales de l’humain tel que nous le connaissons nous paraissent-elles si idéales que nous ne devrions en rien envisager d’y toucher ?
À la lecture des publications proposées par le courant des “objecteurs de croissance”[1], on pourrait être amenés à penser que ce mouvement n’a strictement rien à échanger avec le Transhumanisme. Mais, sur le fond, Décroissance et Transhumanisme, surtout techno-progressiste, ne sont pas du tout incompatibles, ils pourraient même se révéler nécessaires l’un à l’autre !
Au moment où j’ai commencé cet article, nous étions le 12 juin. Ce soir là, le coup d’envoi de la 20e coupe du monde de football était symboliquement donné par un jeune handicapé paraplégique équipé d’un exosquelette piloté par la pensée [1].
Une franche avancée du transhumanisme : Le Comité National d’éthique reconnaît le sérieux de ses hypothèses (Mais se trompe en partie de cible dans ses critiques).
Une franche avancée du transhumanisme : Le Comité National d’Éthique reconnaît le sérieux de ses hypothèses (mais se trompe en partie de cible dans ses critiques) Le 12 février dernier, le journal Le Monde, dans son supplément « Science et médecine », a signalé une publication qui a dû passer inaperçue de la très… [lire la suite]